Médecines douces et santé : le mot de la rentrée…

Vu le bilan en demi teinte de la médecine allopathique (Lire notamment, à ce sujet, l’ouvrage de Nicole DELEPINE concernant la face cachée des médicaments), rien d’étonnant à ce que de nombreuses personnes de bons sens, ainsi que des professionnels de santé eux-mêmes, y compris des médecins, se tournent, de plus en plus, vers les « médecines douces » qui constituent, en réalité, des « médecines très actives » (Docteur Jean-Pierre Willem), donc à utiliser non sans une certaine prudence.

Bien connaître les plantes médicinales, l’usage des huiles essentielles, l’homéopathie, etc., est impératif pour en faire un usage raisonné, approprié, à bon escient.

La qualité des produits utilisés est fondamentale pour obtenir des résultats significatifs, et choisir des produits naturels adéquats aux objectifs visés ne s’improvise pas. De ce point de vue, tout comme l’auto médicamentation en médecine allopathique, le recours aux « remèdes de grand-mère » non encadrés peut avoir des effets très nocifs et dévastateurs ! Il existe, en effet, des contre-indications à l’usage de certaines huiles ou certaines plantes qu’il convient de respecter scrupuleusement.

Par ailleurs, outre la question des symptômes qu’il s’agit de calmer, la recherche des causes profondes est, en « médecines douces », essentielle. C’est pourquoi, sans se substituer, en aucun cas, au médecin, seul habilité à établir un diagnostic, ou aux professionnels de santé inscrits à un ordre professionnel, les thérapeutes peuvent pratiquer, en amont ou en aval d’une visite médicale, un bilan de santé, et former le grand public à l’usage raisonné des plantes médicinales. Les « médecines douces » sont ainsi particulièrement adaptées à la prévention et aux maux du quotidien, fonctionnant comme « médecine naturelle préventive ».

Jérôme Barbier est, depuis 2015, en formation au CERPFA Santé de Saint-Laurent du Var lequel organisme forme, par exemple, de futurs naturopathes. Il a suivi au cours de l’été 2016 un stage faisant partie du diplôme de Conseiller en aroma-phytothérapie. Il participera durant l’année 2016/2017 à plusieurs stages, et validera également des modules formant aux « médecines douces » (plantes médicinales, homéopathie, anatomie et physiologie, réflexologie plantaire, utilisation de l’antenne de Lécher).

Concernant les huiles essentielles, le formateur entend se spécialiser dans le domaine des huiles antivirales, et des préparations utiles contre les maux de l’hiver ; et souhaite, par la suite, également accorder une attention particulière à la question des possibilités d’usage de la phytothérapie et de l’aromathérapie dans le domaine de la cancérologie (soins de supports, conseils parus dans des revues officielles traitant de l’usage des plantes pour la santé).

Ses interventions, destinées au grand public, auront lieu, dans ce domaine des « médecines douces », sous forme de conférences et de formations à l’usage des plantes médicinales et des huiles essentielles.